Profil d’un bénévole – Don Downer
juillet 4, 2014Nous sommes heureux de vous présenter Don Downer, membre du Comité consultatif de Terre-Neuve-et-Labrador.
M. Downer a commencé à participer aux activités de la FCSA il y a environ six ans. Il dit avoir commencé à s’intéresser à la FCSA en raison de son expérience en biologie – un baccalauréat ès sciences avec concentration en biologie; une maîtrise en biologie marine avec des travaux de recherche sur les invertébrés de la zone marine intertidale intérieure.
« Quelques-uns d’entre nous ont mis sur pied le Centre aquatique pour la recherche et l’éducation (ACRE). Ce centre est axé sur la préservation de l’habitat naturel du saumon atlantique, la restauration du ruisseau Hughes ici sur la côte nord de la Bay of Islands, et la formation et la sensibilisation des jeunes de la localité à l’habitat en eau douce ainsi qu’à la préservation et au rétablissement des stocks. »
M. Downer précise que lorsqu’il a été invité à s’associer aux efforts de la FCSA, il était professeur de sciences de l’environnement au Sir Wilfred Grenfell College (Université Memorial de Terre-Neuve). Il a aussi mis sur pied et dirigé le Bureau de recherche Grenfell.
« J’ai vu cette activité comme une occasion de poursuivre mes intérêts et d’apporter une contribution à l’ensemble de la communauté. La Fondation pour la conservation du saumon atlantique accomplit un travail louable en subventionnant des projets relatifs au saumon et à l’habitat qui autrement n’auraient pas été financés. »
« Cette activité bénévole n’est pas trop exigeante – elle ne nécessite pas beaucoup de temps et les résultats sont énormes. J’encourage toute personne qui s’intéresse à ce domaine à participer aux activités de la FCSA. »
« La contribution initiale de 30 millions de dollars du gouvernement fédéral est de l’argent des contribuables qui a été utilisé judicieusement. Malheureusement, au cours des premières années, nous avons connu de grandes difficultés financières au Canada et dans le monde entier; la situation semble maintenant s’être résorbée et nous pouvons maintenant envisager d’affecter des sommes plus considérables aux projets valables. »